Ain'sTemps Loisirs et la Compagnie du Mont Royal vous proposent une adaptation burlesque et décoiffante par Catherine Sanajuand du monde déglingué d'Eugène Ionesco à travers sa Cantatrice chauve, “anti-pièce” la plus jouée dans le monde.
Les personnages dysfonctionnent allègrement dans un décor haut en couleurs. Ils nous font rire…jaune parfois…. et … grincer des dents par le truchement de leurs propos ridicules !...
Vous commencerez par un apéritif, puis dégusterez la pièce avant que Lise ne vous serve un bon repas !
Synopsis
La pendule sonne quand elle veut. Les Smith attendent les Martin ou l'inverse, on ne sait pas trop. Tout irait presque bien s'il n'y avait la bonne et le pompier pour mettre le feu aux poudres.
La mise en scène reste fidèle au synopsis du Figaro: "Une autopsie de la société contemporaine par le truchement de propos ridicules , et banalités que tiennent deux couples".
M. et Mme Smith bavardent au coin du feu, après leur dîner, M. Smith lit son journal. Le couple tient des propos futiles, souvent saugrenus, voire incohérents, passant sans transition d’un sujet à un autre. La pendule sonne « autant de fois qu'elle veut ». La bonne fait attendre les Martin, très en retard, dans le salon. Ils se sont visiblement perdus et tout heureux de s’être retrouvés, ils se promettent de ne plus s'éloigner.Les Smith accueillent alors les Martin et les deux couples parlent pour ne rien dire. Au fur et à mesure, la communication devient difficile jusqu’à ne plus exister. La bonne allume le feu du pompier qui vient de sonner. Et à part ça ? La cantatrice chauve se coiffe toujours de la même façon.
Vous commencerez par un apéritif, puis dégusterez la pièce avant que Lise ne vous serve un bon repas !
Synopsis
La pendule sonne quand elle veut. Les Smith attendent les Martin ou l'inverse, on ne sait pas trop. Tout irait presque bien s'il n'y avait la bonne et le pompier pour mettre le feu aux poudres.
La mise en scène reste fidèle au synopsis du Figaro: "Une autopsie de la société contemporaine par le truchement de propos ridicules , et banalités que tiennent deux couples".
M. et Mme Smith bavardent au coin du feu, après leur dîner, M. Smith lit son journal. Le couple tient des propos futiles, souvent saugrenus, voire incohérents, passant sans transition d’un sujet à un autre. La pendule sonne « autant de fois qu'elle veut ». La bonne fait attendre les Martin, très en retard, dans le salon. Ils se sont visiblement perdus et tout heureux de s’être retrouvés, ils se promettent de ne plus s'éloigner.Les Smith accueillent alors les Martin et les deux couples parlent pour ne rien dire. Au fur et à mesure, la communication devient difficile jusqu’à ne plus exister. La bonne allume le feu du pompier qui vient de sonner. Et à part ça ? La cantatrice chauve se coiffe toujours de la même façon.