La roche sculptée du lac de Barterand (Parking de la Maison des pêcheurs ) :
Le lac de Barterand fut un lieu d’expérimentation intéressant pour faire connaître l’art de la taille de la pierre.
Il a été réalisé une sculpture géante en hommage aux légendes du Bugey et
notamment ici à Gargantua, sur un des côtés du lac.
Ce travail a nécessité dans un premier temps, la coupe de la roche afin d’enlever une partie du calcaire dur. Par la suite, ce sont 7 sculpteurs, issus de toute la France qui se sont mobilisés afin de réaliser cette oeuvre en bas relief
où l’on retrouve : Gargantua le géant bonhomme et gastronome qui ouvre de ses mains puissantes, le rocher.
Le raisin est un clin d’oeil à l’esprit de convivialité bugiste.
Il se transforme ensuite en gouttes puis en ruisseau baignant la Vouivre, personnage mi charmeur mi maléfique, issu des brumes du marais.
L’église Saint Pierre (Direction le centre bourg) :
Sous le vocable de « Saint-Pierre-aux-liens », elle fut une église-mère pour le territoire et avait pour annexes celles des villages de Flaxieu (XVe) et Cressin (XIXe).
Remodelée à plusieurs reprises, on peut y observer la pierre tombale de l’écuyer de Marguerite d’Autriche, Pierre De l’Espine.
Le lac de Barterand fut un lieu d’expérimentation intéressant pour faire connaître l’art de la taille de la pierre.
Il a été réalisé une sculpture géante en hommage aux légendes du Bugey et
notamment ici à Gargantua, sur un des côtés du lac.
Ce travail a nécessité dans un premier temps, la coupe de la roche afin d’enlever une partie du calcaire dur. Par la suite, ce sont 7 sculpteurs, issus de toute la France qui se sont mobilisés afin de réaliser cette oeuvre en bas relief
où l’on retrouve : Gargantua le géant bonhomme et gastronome qui ouvre de ses mains puissantes, le rocher.
Le raisin est un clin d’oeil à l’esprit de convivialité bugiste.
Il se transforme ensuite en gouttes puis en ruisseau baignant la Vouivre, personnage mi charmeur mi maléfique, issu des brumes du marais.
L’église Saint Pierre (Direction le centre bourg) :
Sous le vocable de « Saint-Pierre-aux-liens », elle fut une église-mère pour le territoire et avait pour annexes celles des villages de Flaxieu (XVe) et Cressin (XIXe).
Remodelée à plusieurs reprises, on peut y observer la pierre tombale de l’écuyer de Marguerite d’Autriche, Pierre De l’Espine.
